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couleur lauragais - les journaux - 2005 - cl n°71 - histoire function mm_preloadimages() { //v3.0 var d=document; if(d.images){ if(!d.mm_p) d.mm_p=new array(); var i,j=d.mm_p.length,a=mm_preloadimages.arguments; for(i=0; i= ievers || verstr.indexof(ievers) != -1) {if (iepass>0) newurl=(iepass==1)?url:alturl;} else {if (ienopass>0) newurl=(ienopass==1)?url:alturl;} } else if (obpass>0) newurl=(obpass==1)?url:alturl; if (newurl) { window.location=unescape(newurl); document.mm_returnvalue=false; } } //--> histoire petite histoire des chemins de fer revélois il y a vingt ans, en 1985, la gare de revel fermait définitivement ses portes. la s.n.c.f. ouvrait en même temps un bureau commercial en ville, celui que nous connaissons aujourd’hui. la ligne de chemin de fer revel - castelnaudary, subsiste encore et fonctionne en trafic restreint (très…?) pour des marchandises, céréales essentiellement. le tronçon revel-castres est totalement arrêté, puisque les rails y ont été déposés depuis une vingtaine d’années, jusqu’au poste de la crémade. arrivée d’un train vapeur en gare de revel, au début du siècle crédit photo : collection lacombe suivons les lignes... notre petit pays revélois était sillonné durant près d’un siècle et demi, par trois réseaux de voies ferrées. - le premier, le plus ancien, la "grande ligne" sncf d’aujourd’hui, fut, à sa mise en service en 1865, une "bretelle" du réseau de la compagnie des chemins de fer du midi : la ligne de castelnaudary à castres par revel, que nous appellerons le "midi". - le deuxième, la ligne du "petit train noir", qui faisait partie de cet important réseau départemental convergeant vers la métropole régionale, toulouse. c’était la compagnie des chemins de fer du sud-ouest créée en 1906. elle amenait de village en village, marchandises et voyageurs de la campagne, via caraman, lanta…. nous l’appelions le "sud-ouest". - le troisième, "l’électrique", ainsi appelait-on ce nouveau petit train, car il circulait sur des lignes électrifiées. il assurait la liaison de revel à castres, en longeant la montagne noire, par durfort, sorèze, dourgne, verdalle et saïx. c’était un modèle du genre en matière de chemins de fer secondaires, faisant partie de la société des voies ferrées départementales du midi, on les appelait les "v.f.d.m.", nées en 1930. petite histoire de la grande ligne des chemins de fer du midi le plus important des trois réseaux de voies ferrées est un embranchement ("une bretelle") à castelnaudary, rattaché à la grande compagnie des chemins de fer du midi, qui vit le jour en 1852. la ligne passant à revel via castres fut mise en service le 16 avril 1865. nous la devons aux représentants du département du tarn qui interviennent auprès du gouvernement, compte tenu de l’importance de cette ville (manufactures de tissages, laines, draperies et tanneries). le ministère de la guerre intervint lui aussi pour sa réalisation et par la suite pour son maintien, en raison de l’importance et de la fonction stratégique de l’arsenal de castres (artillerie). cet itinéraire à voie unique de 55 km ne présentait pas de grosses difficultés, sauf au départ. a la sortie sud de la gare de castelnaudary la voie s’engage dans un tunnel de 100 m de long, passant lui-même sous le canal du midi, entre le pont et les écluses st roch. cet ouvrage fut construit en 49 jours durant les mois d’août et septembre 1863. ensuite cette ligne de chemin de fer contourne la ville par l’est et le nord, longeant la colline des moulins du pech et du cugarel. elle atteindra la gare de soupex distante de 10 km 400, avant de franchir un second tunnel, très court celui-là, puisque seulement de 35 m, qui représentent la largeur du pont-canal sur lequel coule la rigole de la plaine de l’alimention du canal en direction de naurouze. elle arrivera en gare de saint félix lauragais 9 km plus loin, celle-ci distante du village du même nom et de son château perché sur son promontoire à 3 km. au sortir de cette gare, un important passage à niveau l’autorise à couper la route n 622, pour arriver 6 km 500 plus loin en gare de revel-sorèze (ancien nom). en ayant auparavant desservi les silos à grains à l’entrée de la zone industrielle de la ville ; lieu où existait il y a quelques années un embranchement particulier desservant d’immenses réservoirs de produits pétroliers. la seule utilité de nos jours : appelée "trafic restreint", c’est le transport des céréales. qu’il est loin le passé où dix à douze trains y circulaient journellement (marchandises ou voyageurs) dans les années 1930. maquette du pont-viaduc de la "vacherie" réalisée par jean laguens crédit photo : couleur média descriptif de la ligne en quittant la gare de revel, la voie passait sous le pont-viaduc de la "vacherie", qui permettait le passage en hauteur, du "petit train noir". quelques centaines de mètres après, la voie sautait le sor, sur un pont métallique de 15 m de long et suivait la large vallée de cette rivière pour arriver à la petite gare de blan distante de 5 km 700 et celle de lempaut à la même distance. la voie ferrée franchira deux ruisseaux affluents du sor, le bajou et le taurou, avant d’atteindre la gare de soual, distante de 5 km. vient ensuite à 5 km 300 le point de bifurcation de la crémade, station d’arrêt général. là, les rails venant de castelnaudary sont rejoints par ceux de la ligne venant de saint sulpice (tarn), gare importante qui reçoit ceux venant de toulouse et montauban. ne formant, à partir de là, qu’un seul tronçon en direction de castres, distante de 7 km 300, la ligne rentrera en gare en double voie, après avoir franchi l’agoût sur un pont de pierre à trois arches de 82,50 m de long. les gares de castelnaudary et de castres possédaient des dépôts de machines-traction à vapeur importants. ces locomotives fonctionnant au charbon étaient des modèles à tanders incorporés de type 0-32 t séries 302 et 345, système "engerth", type 240 t série 4500 appelées les "carrées" et type 141 t série 5200 qui venaient de la compagnie p.o (paris-orléans). la s.n.c.f. est née en 1934 de la fusion de cette compagnie avec celle du midi. ont également circulé sur cette ligne des locomotives à tanders séparés, les types 030 y ont été les plus courantes, les types 040 - 230 et 140. entre 1934 et 1939, les trains lourds (mixtes au marchandises) étaient tractés par des modèles 141 d’origine américaine (baldwin ou alco). aujourd’hui ce sont des loco-tracteurs fonctionnant au fuel-dicsel, modèles b.b 66000 et y-8220, qui tractent des trains de citernes à céréales. le trafic des voyageurs comme celui des marchandises a été très important avant les années 1940, sur cette ligne castelnaudary-revel-castres. au début du siècle des trains spéciaux, dits "trains de plaisirs", étaient organisés en direction de revel pour la visite du site de saint-ferréol et pour des excursions dans la montagne noire. la circulation des trains de voyageurs fut totalement interrompue en 1945. locomotive voyageurs-marchandises, série 801 à 1202 - 1867 crédit photo : collection jacques batigne dans le prochain numéro, nous ferons l’historique des chemins de fer des lignes secondaires autour de revel. jacques batigne une exposition de photos, cartes postales et plans sur l’histoire des chemins de fer revélois sera présentée par l’auteur, les samedi 30 avril et dimanche 1er mai, à la salle polyvalente de revel, dans le cadre d’un grand salon du modélisme, de la maquette et des modèles réduits : aérien, ferroviaire, nautique et patrimoine historique. suite de l'article paru dans couleur lauragais n°72  
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