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forumeco : l'information économique et juridique de votre région s'identifier identifiant : mot de passe : mot de passe oublié document sans titre les promesses du tgv événement. les invités du premier dîner-débat du club forumeco - les crayères, organisé mardi 7 novembre, ont échangé sur les retombées du tgv est. la région est-elle prête? la champagne est en mesure de donner plus qu’elle ne promet ». cette phrase de conclusion, énoncée par le promoteur touristique rémois francis legros pourrait servir de conclusion au premier dîner débat forumeco - les crayères. on y retrouve en effet tout à la fois l’ampleur des espoirs suscités par l’arrivée du tgv, ce voile d’incertitude qui rend les prévisions bien difficiles et en filigrane, la peur de rater le coche. pour jean-paul couasnon, délégué général de l’agence de développement économique dumans (adema) et intervenant « fil rouge » de la soirée, à qui revenait le mot de la fin, le dynamisme induit par le tvg ne va pas de soi. il n’ira pas sans le volontarisme politique, en particulier en matière foncière. « ni la défense, ni lyon part dieu, mais ... » « quand ils ont présenté les plans d’aménagement du quartier de la gare du mans, les ingénieurs de l’urbanisme se sont fait traiter de cinglés », a rappelé en préambule, jean- paul couasnon. «on leur a dit : « où est-ce que vous vous croyez ? on n’est pas à la défense ! » mais on y croyait et on a continué ! » (...) on n’est toujours pas la défense, ni lyon part dieu, mais on a attiré 2 500 emplois tertiaires et dont un bon millier d’emplois du tertiaire supérieur.» dès l’arrivée du tgv, en 1989, 15 000 m2 de bureau étaient disponibles. aujourd’hui 65 000m2 de surface de bureau sont construits, occupés à 99 %. ramené aux réalités 2006 à reims, il faudra apparemment voir le développement à une échelle bien supérieure. « dans le quartier clairmarais, adossé à la gare, 26000 m2 sont déjà construits, dans la perspective d’étendre cette surface à 80 000 m2, dont beaucoup sont déjà pré-loués, loués ou acquis », a recadré xavier albertini, adjoint au maire de reims. immobilier: éviter la pénurie pourtant, à en juger par cette réflexion du directeur de reims champagne développement, jean- yves heyer - qui estime qu’en matière immobilière il s’agit à l’heure actuelle de « gérer la rareté » - le compte n’y est pas. ainsi, l’aménagement des 170 ha réservés autour de la gare d’interconnexion de bezannes sera décisif. d’une « il faut trouver des promoteurs privés qui vont construire des immeubles répondant à un certain standing » et ce bien que les grosses entreprises du secteur, telles que bouygues, soient absentes de la marne depuis trente ans. il faut aussi trouver de nouveau terrains à lotir. car l’argument principal pour attirer des entreprises est celui du prix de l’immobilier. « vous achetez vos surfaces au mans pour ce que vous dépensez en locatif en trois ans à paris » est l’argument de jean-paul couasnon. « une entreprise de la région parisienne qui s’installe à reims, c’est 10 000 euros de moins par emploi et par an » est celui de guy blérot, deuxième vice-président de la communauté d’agglomération de reims (reims métropole) et président de reims champagne développement. pour lui et son directeur jean-yves heyer, un constat s’impose : « 2 000 emplois quittent la région parisienne chaque année, notre ambition est d’en capter une partie ». un bénéfice pour la région tout entière mais comme il est vrai que le tgv ne passera pas qu’à reims, il est aussi important de souligner qu’il ne reliera pas seulement paris. « les principales villes de notre région doivent ouvrir leur développement tous azimuts », a souligné le président de région jean-paul bachy, qui a rappelé les opportunités foncières à saisir sur les friches industrielles ardennaises. déjà structurée par l’a 34, les zones d’activités ardennaises doivent accompagner le trajet parallèle du tgv par une phase de modernisation. comme l’a signalé didier jacquet, président de la fnaim (fédération nationale de l’immobilier) cette démarche de réhabilitation est déjà à l’oeuvre à sedan, dont l’habitat est dopé par un classement « ville d’art et d’histoire ». pour le président de la région, la réponse aux inquiétudes concernant l’avenir est claire: « la région est prête ». reste pour lui un dernier souci, en accord avec le mot d’ordre de rassemblement qu’il martèle régulièrement : « ne pas opposer une vision globalisée et l’essor économique de certains pôles ». autrement dit, ne pas laisser le sort de reims obérer des enjeux qui concernent la région tout entière. pour le directeur régional de la sncf les choses ont bien évolué en la matière depuis l’arrivée du tgv au mans en 1989. « à l’époque,on ne pensait pas à faire de relation de villes de province à villes de province », a remarqué jean-marc longequeue, rappelant les efforts consentis par ailleurs sur le réseau ter, afin d’irriguer tout le réseau de transport public de la région. là aussi il conviendra de confirmer ces efforts dans le temps. c’est à ce prix que la champagne- ardenne connaîtra cette phase de développement à grande vitesse tant espérée. zoom…le tertiaire prend ses quartiers à reims guy blérot, adjoint au maire de reims et président de reims champagne développement, a rappelé l’objectif que s’est fixée l’agence de développement : attirer à reims 500 nouveaux emplois par an. un objectif parfaitement réaliste. en 2005, en effet ce sont plus de 600 emplois et déjà environ 500 pour 2006, qui ont éclos, grâce notamment à l’arrivée de centres d’appels dans le quartier clairmarais, situé juste derrière la future gare du centre-ville. le caractère prohibitif de l’immobilier parisien donne de bons espoirs quant à la captation d’un grand nombre d’activités tertiaires (voir dans ce numéro en page 7 l’arrivée de l’entreprise ikoula). ainsi, le directeur de reims champagne développement, jean-yves heyer et le président de région, jean-paul bachy, ont annoncé au cours du débat l’arrivée probable des activités de back-office deux grandes enseignes d’ici un an environ: une banque et une grande marque du luxe. pour celle-ci, deux arguments semblent porter. d’une part, l’adéquation entre l’image donnée à reims par le champagne avec l’industrie du luxe, d’autre part la possibilité pour le personnel d’un service juridique amené à se déplacer souvent en asie, d’être à une demi-heure de l’aéroport roissy charles de gaulle. ainsi, le tgv ne relie pas seulement reims aux autres villes françaises ou à l’europe de l’est, mais au monde entier. le crédit agricole aussi l’a bien compris et c’est ce qu’a rappelé le directeur adjoint du crédit agricole du nord est, jean- louis boudier. il a pour sa part évoqué le choix de la direction nationale de la banque de désigner reims comme lieu de formation pour les cadres des diverses banques rachetées récemment. un cas d’école en quelque sorte, puisque l’arrivée du tgv reliant reims à l’aéroport charles de gaulle a autorisé ce choix sans suffire à lui seul à faire pencher la balance. car, comme l’on souligné nombre d’intervenants, seules les opportunités immobilières ne suffisent pas. le tissu local doit se montrer attractif. en l’occurrence, le tissu universitaire et notamment les formations proposées par reims management school, qui permettront au crédit agricole de mettre en place de riches stages d’intégration. dans les prochains mois, une dizaine de cadres italiens de la banque cari parma doivent venir dans la cité des sacres, après les ukrainiens d’index bank et les serbes de la meridian bank. partenaire publicite
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